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Songes a la douceur,
Quand, les deux yeux fermes, en un soir chaud d'automne,
UNE ROSE BLANCHE
Une rose blanche, pure
comme son cœur.
La douce chaleur morte
comme mon cœur sans
amour,
Et ma tristesse,
comme une maman sans son enfant.
Il est
parti
comme un pétale de rose qui s'éloigne dans le ciel,
Et mon cœur de
mère,
comme une tempête sans soleil.
Comme mon cœur mort
d'amour
Comme une rose rouge , pure comme mon cœur.
Jeanine P, le
22.11.02
Un jour viendra où
le monde
Changera et le soleil brillera tel une onde
Sur une île de
beauté
La feuille qui grandit a besoin de sérénité
De lumière, tu es mon soleil et ma raison de vivre
Laisse moi
ne t'aimer qu'une nuit, ivre
De tes regards amoureux voguant vers le
voyage
Viens ce soir mon amour et offre moi ton rire et ton âge
Ton âge d'où souffle le vent de la passion déchaînée
D'une
mélodie harmonieuse, la passion du vent agité
Chante enfin la passion de Mike
BRANT
Toi dont les chants sans fin me hantent
A toi Mike
Cordialement http://webmail.tiscali.fr/cgi-bin/webmail?Act_V_Compo=1&mailto=neau.seb@wanadoo.fr&ID=IR2DCt6xLoqlIBlZTiDlt1eKe4TvBkCIDgWoiCaxLoS3&R_Folder=aW5ib3g=&msgID=858&Body=0
Neau Sébastien 79000 Niort.
le 08/11/2003
Absence
Où seras-tu
demain?
Vers quels lointains rivages
Feras-tu le voyage
M'éloignant de ta main?
S'il fallait que
tu partes,
Si c'était ton destin,
Je cacherais mes larmes
Et je ne dirais rien.
Je sourirais
parfois
Pour ne pas perdre la face,
Si
tu savais en moi
Ce que tu tiens de place
Nancy, le 18/03/2004
L’âme
en peine j’attends qu’elle vienne, qu’elle revienne
Qu’elle
me prenne sans querelles qu’elle soit mienne
Son
absence me gène trop d’oxygène la vie m’enchaîne
Loin de
celle que j’aime qui de mon corps est reine
Son
retour traîne même si chaque jours me la ramène
Mes pensées
de moins en moins saine j’attends qu’elle m’emmène
Loin de
ces scènes obscènes qui m’obsèdent et me maintienne
Ma tête
pleine à en avoir la haine je l’attends avec une espérance vaine
et j’attends, je l’entends, et je l’attends
j’attends qu’elle m’enlace mais dans ce suspend je
me lasse
son absence m’agace je rêve que dans ces bras glacées
me prélasse
la vie me fais face j’ai envie de passer ces obstacles
qui s’entassent
je fonce à sa rencontre tête basse mais je veux flotter
dans l’espace
à chaque bouffée je l’embrasse baiser ardent brûlant
qui me glace
à chaque fumée que je brase me déphase quand elle me
menace
à chaque pas ces traces s’effacent
ces flammes me crament me terrassent
je m’enfonce vers cette place face à moi ce mur se démesure
j’attends et c’est l’impasse
et j’attends, je l’entends, et je l’attends
douce
j’attends ma déesse comme une brise une caresse
de part
en part elle me traverse brise mes remparts me rend paresse
ici je
le confesse me laisse aller mais la vie assassine sans cesse m’oppresse
me
presse je m’en vais vers diverses fins et attends sans fin que ma princesse
par traîtrise
sans gène m’agresse et par sa faux enfin me perce transperce
et dans
cette nuit en transe me laisse et me fini par ce baiser ardent qui me blesse
brûlant
comme ce brasier sans cesse face à elle mes yeux se baisse
et j’attends dans cette messe celle que j’idolâtre
mais qui me délaisse
vaine
haine dans mes veines
dans mes
gènes et me gène
même si
j'ai l'épiderme indemne
dans ma
tête blême ça germe
liberté
trop éloigné de ces chaînes
je
saigne comme cette chienne
vaine
haine dans mes veines
dans mes
gènes et me gène
enfermé
je sème mes peines
mais
enchaîné arrive à peine
à
gueuler mes pensées que je mène
dans
cette dernière haleine
vaine
haine dans mes veines
dans mes
gènes et me gène
vaine
haine dans mes veines
dans mes
gènes et me gène
Lamy guillaume, le 16 octobre 2004